Extrait du journal

Ces chiffres laissent bien entendu, en dehors, les annuités de notre dette de guerre envers l'Angleterre fit. les Ftats-Vnis. Quand on a une dette d'une importance t elle qu’elle exige des sacrifices annuels aussi considérables, on n'a 'pas de cadeau à faire à scs débiteurs. Nous devons, par conséquent, ne consentir à l'Allemagne aucune atténuation «lie ses propres échéances. Le plan Daiwes constitue pour nous une charte qui doit demeure r intangible. C'est là une nécessité absolue. pour deux raisons: d’abord parce que mais avons besoin de ces versements effectués au titre des réparai ions et, mi pourrions mais en passer sans déséquilibrer gravement notre budget, et ensuite parce que la charge même que ces ananuités imposent à T Allemagne maintient un certain parallélisme entre sa situation économique et. la nôtre. Si nous allégions cette charge, la balance ne serait plus en équilibre, l’économie allemande s'en trouverait immédiatement améliorée, la nôtre s’en trouverait au contraire accablée. II e-d évident., en effet, que les prestations al.-...