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L’Hermine, 3 janvier 1837

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L’Hermine
3 janvier 1837


Extrait du journal

On nous écrit dos marais de la Vendée et des Deuxs,'uvs. que la plus grande misère existe dans toute cette partie si importante de l'Ouest. Les eaux se sont élevées , (x-li,. année, hicn plus haut qu'à l'ordinaire : leur violence a rompu des digues , et les malheureux qui , sur le bord «Ivÿvauaux,gagnent leur pauvre vie , abrites sons leur Initie je chaume , ont été forcés d'abandonner leurs demeures ensevelies dans les eaux pour chercher ailleurs un refuge. Ltsoies. les canards , qu'ils engraissent pour faire le seul commerce qui soit en leur puissance, avec la pèche rendue impossible, lotit a péri ou est promptement devenu sauvage par suite du manque de nourriture. Aujourd'hui, la plupart de ces maréchaius sont réduits à vivre

À propos

Fondé en 1837 à Nantes, L’Hermine était un quotidien monarchiste légitimiste dirigé par Jacques Crétineau-Joly. Il disparaît en 1850.

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Données de classification
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