Extrait du journal

Qu’on nous en croie. nous avons trop fortement conscience de l'incomparable | grandeur des questions qui se débat vent à coups de canon dans nos nés dévastées, pour que notre puisse s’en détacher un seul tant. Nous savons ce que nous Ions et noirs le voulons d’une longé qui ne peut finir que par notre propre fin. Nulle fanfaronnade ne peut venir de nous. L’Allemagne nous accule à la nécessité pour sauver notre France, de délivrer l'Europe d’un mortel cauchemar. Ave® nos bons alliés, dont aucune flatterie. dont aucune menace, ne pourra nous jamais séparer, nous accomplirons la grande tâche, préférant ne pas être plutôt que de vivre asservis. Nous n’avons pas cherché une si belle page d’histoire. Qu’on nous la laisse vivre et que, sans plus de bavardages, neutres et combattants fassent chacun leur destinée....