Extrait du journal

Ainsi que l'indique le traducteur, ces images de la guerre aérienne prennent une force singulière du fait que les avions mis en action « ne passent en aucune façon les possibilités actuelles de la technique aéronauti- que » et que « ce printemps de 1933 a vu, sur l'aérodrome de TempelhofBerlin, le baptême en grande pompe militaire de l'avion D. 2500 dont l'équipement de 4 moteurs à huile lourde n'est pas le seul point de ressemblance avec les avions G. que l'auteur de « Luftkrieg » charge de la destruction de Paris »....