Extrait du journal

Il y a quelques années on le tenait comme une monnaie d'échange précieuse dans nos négociations avec certains pays producteurs. Puis il devint le type même des denrées victimes de la surproduction : ne jetait-on pas à la mer des cargaisons formidables de grains verts, secs ou même brûlés, pour décongestionner l'offre et allécher la demande ? Ensuite, l'occasion de l'Exposition coloniale s'offrit pour prôner, avec raison et publicité, la consommation de nos cafés coloniaux de préférence à tous autres....