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L’Homme libre, 22 novembre 1920

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L’Homme libre
22 novembre 1920


Extrait du journal

Par exemple, le principe des nationalités est comme la langue d'Esope, la chose la meilleure et la pire. Au nom du principe des nationalités, on crée de grands, peuples, pleins de cohésion et de force. On en écrase d'autres, comme l'on fit de nous en 1870, et l'on prépare de nouveaux massacres ; et l'on ajourne indéfiniment un état d'équilibre et de paix. Chéz les nations déjà constituées, te principe des nationalités n'a pas d'intérêt pratique. Ce n'est qu'un argument diècole. D'autres idées se font jour. Il y a surtout des nécessités économiques, jiées de la configuration du sol, du cours des fleuves, de la situation des ports!L et des habitudes prises par le commerce sur les grandes routes monidiales....

À propos

Fondé en 1913 par Georges Clemenceau, L’Homme libre (certains numéros sont publiés sous le nom L’Homme enchaîné) constituait une tribune de choix pour l’homme politique. Bien que le tirage fût toujours faible, le journal était très suivi pour ses analyses approfondies. Le journal traitait en priorité des questions de politique intérieure et de diplomatie et servait souvent de tribune aux idées des radicaux.

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