Extrait du journal

- >Kous insistons d'abord sur ce point capital, que nous avons développé tout au long, à savoir que le principe du projet de loi — même dans son texte actuel voté par la Chambre — ne met pas en cause le droit de propriété. Celuici subsiste en entier dans ce texte, il esi simplement élagué de quelques prolongements excessifs qui nuisaient à autrui,'conformément à une pratique toujours suivie par le législateur qui doit se souvenir que l'on ne doit permettre aux uns itlue ce qui ne nuit pas aux autres Donc il ne convient pas de prêter l'oreille aux clameurs de ceux qui crient : « casse-cou ! » au nom du droit sacré de la propriété et qui, en réalité, sous couleur de défendre un principe, essentiel de l'équilibre social ne font que marchander des intérêts. Ceci permet de répondre à une objection....