Extrait du journal

Les taxis sont vides, les théâtres ne eont plus pleins. En revanche, les. cinémas et les Nachtlokale ou boites de nuit, regorgent de chalands auxquels il tarde, avant l'effondrement complet, de dépensier les billions et les trillions — les billiards dit-on ici — de marks papier qui gonflent leurs portefeuilles. Le besoin de dépenser l'argent dès qu'on l'a gagné est devenu une nécessité pour ainsi dire vitale. Par contre, (personne ne se dérangerait pour ramasser un billet d'un milliard traînant sur le trottoir....