Extrait du journal

« S'il emprunte sa raison d'être à la seule fiscalité, le monopole se justifie dans la mesure où il satisfait à cette fin ; dest-à-dire qu'une seule interrogation peut être posée à son sujet : procure-t-il aux caisses de l'Etat une somme supérieure à celle que feraient rentrer, ensemble, d'une part, unetaxe équitable perçue sur la matière dont il fait l'objet; et, d'autre part, les impôts directs qu'auraient à acquitter particuliers ou sociétés, industriels ou commerçants, à-raison de l'exploitation à laquelle ils se livreraient, celle-ci devenue libre (impôt foncier, mobilier, sur le chiffre d'affaires, sur le revenu, etc.)....