Extrait du journal

Salaires réduits. Que de misère atro. ce, de détresse indescriptible dans ces deux mots. Déjà les salaires sont totalement insuffisants. La vie est chère, les impôts sont lourds, les loyers sont exorbitants le gaz, l'électricité, l'eau et les transports sont des charges très lourdes. Il. faut f aire des prodiges d'économie et de restriction pour arriver à reproduire chaque jour les forces de travail nécessaires au lendemain. La gêne s'étend, puis s'aggrave. L'anémie survient; puis les maladies terrassent les travailleurs, cercle vicieux. Les travailleurs se paupérisent chaque jour davantage....