Extrait du journal

d’où nous partions pour conduire Fabien à sa dernière garde, tout en haut de Parie qu’il a délivré, que de souvenirs en tore présents de la glorieuse insurrection nationale l Que de rappels de la guerre qui n’est pas finie ! Des avions militaires couvraient par instants, du bruit de leurs moteurs, la voix de ceux qui rendaient hommage à nos trois morts héroïques. Et d’un bout à l’autre de la façade de la Maison commune, de celle des immeubles voisins, voilà toujours béantes les plaies ouvertes dans la pierre par .les projectiles qui furent tirés dans la bataille du mots d’août....