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L’Humanité, 5 janvier 1911

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L’Humanité
5 janvier 1911


Extrait du journal

Mais ce zélé pour les intérêts capitalistes fut d'ailleurs inutile M. Briand, lorsqu'il fit maison nette' et « démissionna » son premier cabinet, ne lui en tint aucun compte. M. Chéron fut, au même titre que lés autres, balayé en un tour de main par M. le président du Conseil et dut, triste et morne, regagner le modeste banc de simple député d'où Clemenceau, en un jour de blague, l'avait arraché pour le hisser au pouvoir. Mais M. Chéron ne saurait demeurer tranquille. Pour satisfaire sa dévorante activité, il organisa un « groupe parlementaire d'éducation populaire et d'action républicaine dont il se fit bombarder président....

À propos

Fondé par Jean Jaurès en 1904, L’Humanité, affichait une double volonté : celle de rassembler les militants du socialisme en France, et celle de les renseigner. Sa rédaction, d’une qualité intellectuelle remarquable, a toujours su se défendre contre les attaques virulantes de la presse de droite, notamment de L’Action française, de L’Écho de Paris ou de La Presse. Attaques qui ont toutefois chauffé les esprits de certains nationalistes : on peut penser qu’ils ont même mené – indirectement – à l’assassinat tragique de Jaurès en 1914.

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