Extrait du journal

!J ̃ Naturellement, il arrive qu'un jour des • malheureux, intoxiqués par cette littérature de sang, passent à, l'acte. Et- le? ̃ chefs qui ont armé leurs bras les renient. En fait^" leurs procédés sont ceux des hitlériens, des mussoliniens, des fascistes de' tous les pays. Partout, où les Maurras et les de La Rocque sont arrivés au pouvoir, c'est par l'attentat sanglant set i'assassinat. Sections d'assaut, nazis,' chemises noires, camelots ̃ du roi, francistes, dispos, J. P., tout ce vilain monde est cousin germain. Tous sont des agents 'du Capital groupés par -lui- pour anéantir^ par la violence les militants de la classe ouvrière et de la démocratie. Depuis le. 6 février 1934, les fascistes français^ essayent- d'imiter leurs congénères d'Allemagne et'd'Italie. Le Front populaire, la vigoureuse levée du peuple de France les a contraints à reculer. Le 6 décembre dernier, l'un des 'leurs! Ybarnégaray, parlant au nom des La Rocque et consorts, a hypocritement offert aux antifascistes une fausse r<> conciliation nationale. Ils ont promis le désarmement de leurs dispos et de leurs formations paramilitaires. `...