Extrait du journal

C'est dans ces conditions que la déclaration faite hier à la Chambre a provoqué dans les masses laborieuses une légitime émotion. Comment expliquer en effet que dès attaques et des menaces aient pu être dirigées contre la classe, ouvrière et contre. sa grande organisation syndicale, la C.G.T., alors que rien n'a été dit contre M. Gignoux qui, >à: la tête de la Confédération générale du patronat français, met tout en œuvre pour saboter les lois sociales et provoquer des troubles dans le pays. Notre Parti communiste, a poursuivi Maurice Thorez, pense que c'est aux patrons de combat, et non aux travailleurs, qu'il faut demander des sacrifices. Cela, nous l'avons dit à. la tribune de la Chambre et nous avons demandé que d'énergiques mesures soient prises contre les organisateurs de la panique financière. Sl...