Extrait du journal

M.Crosse l'informa qu'il n'avait pas le moyen de se rendre à la citation à quoi il fut répondu « Tant pis pour vous, on vous condamnera par défaut ». Un ami donna au malheureux de quoi se rendre à Nancy, où il put ainsi aller entendre confirmer par la Cour le premier jugement. Le. soir, il se rendit la préfecture pour demander un secours de rapatriement l'employé l'invita à revenir le lendemain matin le lendemain matin, on le renvoya à l'après-midi, et finalement on lui refusa tout secours. M. Crosse dut faire à' pied, la routé de Nancy à Charleville il arriva exténué et mourant de faim. POUR TERRORISER UNE FEMME...