Extrait du journal

.surdes et relèvent de, l'idéologie -purt quand elle.-» ne dissimulent pas les intérêts particuliers de ceux qui. lee soutiennent. r ̃ La démocratie bourgeoise ne,,mènepaa au sociaUfima, mais à la dictature bouigeodse. Les adversaires du ibolchevisme panlent comme si le prolétariat était le seul facteur de transformation sociale, libre de choisir d'heutre et les formes de son action, libre de faire l'économie d'une révolution ou d'en fier Je moment, libre de faire ou de ne pas faire usage de la violence, d'exercer ou non la dictature. L'histoire et l'expérience des révolutions en cours prouvent le contraire. La faillite du capitalisme, devient de jour en jour plus évidente et, .parallèlement, la dictature bourgeoise de plus en plus lourde. • Le prolétariat n'a aucune responsabilité dans le cours des événements qui ont déterminé et précipité cette faillite. Il est t incontestable! que le masses ouvrières et paysannes n'ont pas encore acquis ce degré purement idéal de conscience et d'organisation matérielle qui enlèverait à la bourgeoisie toute possibilité de résistance et permettrait le passage sans violence, sans transition du régime capitaliste au régime communiste. Mais prétendre que a libération du prolétariat est subordonnée à l'existence d'un pareil état de choses est pure hypacrjisie, aberration -ou> trahison. La révolution n'a jamais consacré le plein épanouissement d'une classe sociale, .niais a toujours été, au contraire, la condition de cet épanouissement....