Extrait du journal

trouvera les deux ennemis en présence, en état de continuer, en humeur de persévérer. On frémit en songeant aux souffrances qu'entraînera dans ce climat un© campagne pendant cette saison. Déjà cette guerre a produit une moisson d'horreurs. Les récits dfes témoins oculaires nous ont fait passer sous les yeux cette effroyable consommation d'hommes. Deia deux côtés, la vie humaine est prodiguée avec une. criminelle insouciance. Les confidences peutêtre un peu hautes en couleur et en ton du prince Radziwill ont achevé d'écœurer tous ceux qui ne font pas du paradoxe à la de Mai:stre, qui n'aspirent pas de, loin l'odeur fade du sang et qui n>& font pas, -en pantoufles et au coin de leur feu, les stoïciens pour les souffrances d'autrui....