Extrait du journal

Pour qu'elle le soit, il faut aux alliés non seulement la victoire par lès armes, -mais le concours des .peuples. Le i premier est celui dit peuple allemand lui-même, enfin tiré de l'abominable ivresse où ses gouvernants Vont plongé. Ayant réfléchi sur les origines de la catastrophe, ayant sondé 1er, desseins impériaux de conquête manifestés par les classes dirigeantes allemandes, ayant entendu les appels de ceux, qui, socialistes ou non, commencent à trouver lourde la. responsabilité des empires centraux, q\ie le peuple allemand entre donc, dans l'opposition la plus ferme et la plus vive à l'égard des maîtres de l'empire qu'il fonde la 'vie politique de la nation allemande, revenue à son génie propre, sur un. régime où te suffrage universel, ne, sera pas un vain mot, où les gouvernement? seront responsables devant la souveraineté populaire et non pas devant le .seul kaiser, maître exclusif des catastrophes. Ainsi, le Parti socialiste français, ayant à envisager s'il y a lieu de reprendre lès"relalions internationales, et, par là même, les rapports avec la section allemande., lie- la reprise .̃ile-cettfi-aeUvite a, des actes.. ̃_...