Extrait du journal

.« Vers la fin.de la journée du 9 janvier, au moment où les mouvements révolutionnaires s'accéléraient, où des modérés comme MM. Brasseur et Pescatore se retiraient du Comité de Salut Public, où la foule devenait plus dense, plus, houleuse, où les volontaires luxembourgeois-adhéraient à la République, lés troupes françaises ont dispersé les manifestants, interdit l'accès des monuments nationaux, de la poste, du palais du gouvernement, de la Chambre, où une partie des députés délibérait, et, en un mot, rétabli 1 ordre. Elles 1 ont fait gentiment, comme nos poilus savent faire ces choses-là, avec de bons sourire?. La République luxembourgeoise avait vécu. »...