Extrait du journal

» Ce qui est probablement vrai, c’est qu’il ne peut pas y avoir un seul maître en Europe, mais deux ou trois maîtres unis entre eux. Le gouvernement français voudrait être le deuxième maître si le gouvernement russe était le premier, et la diplomatie allemande doit tenir compte de ce fait. Il y a peut-être eu un moment où le gouvernement français aurait pu être l’un de ces maîtres, et le gouvernement allemand l’autre maître; mais les Français n’ont pas reconnu le moment, ou ont dédaigné d’en profiter. Les suites de cette conduite se sont produites d’elles-mêmes. >...