Extrait du journal

» En agissant ainsi, nous ne faisions l’affaire d’aucun parti , il est vrai, mais l’affaire du pays ; et, comme de bons citoyens que nous sommes, nous mettons les intérêts de la France audessus des intérêts des individus. Voilà , Messieurs , en peu de mots, à quel sentiment patriotique et conservateur nous avons obéi, en modifiant légèrement la proposition de notre honorable collègue, et en repoussant lesamendemensque nous présentaient des membres de la commission, et qui, à notre point de vue , avaient un caractère trop déterminé et trop entier....