Extrait du journal

M. Adolf I liter vient de prononcer le discours que le monde entier attendait. Ce discours écrit, longuement mûri et plusieurs fois révisé, a été lu par le Führer. d’une voix dans laquelle un enrouement obstiné masquait à peine les accents de la passion. L’apôtre du national-socialisme n a pas été inférieur à lui-même ; il a su parler tout à la fois pour l’Allemagne, pour la I* rance, pour 1 Angleterre et l'Italie, pour l’opinion américaine et étrangère impartiale, étrangère à la controverse immédiate....