Extrait du journal

Nous n avions pas fait preuve d un optimisme exagéré en < clivant, la semaine dernière, qu’il fallu t savoir accepter comme un mal préparant un grand bien l’élection triomphale >• — par les ■< crânes bourrés » et par les « bien pensants >' — du Corse sans scrupules auquel nous devons la lente décomposition et la complète corruption de tous les services changés de l’ordre public, et le règne sans conteste de la canaille embusquée dans la presse, dite de grande information. Jamais les démocrates, d’obédiences diverses, trop souvent divisés en sectes rivales et même ennemie*, n’auraient su se regrouper et se discipliner, entre les deux tours, avec une promptitude et une décision qui ont dérouté l'adversaire et complètement renversé l’issue de la bataille, pour la conquête des municipalités, sans les défis directs et les menaces précises que, dans la griserie de son « triomphe » électoral s'est laissé entraîner à lancer (contre ceux qui, en le débarquant de la préfecture de police, eurent le mérite de mettre un terme aux menées sou tel raines des fascistes dans la capitale) le fonctionnaire félon, celui dont le nom, quand on le prononce avec l'accent qu’exige le bon français résonne comme l'aboiement d un...