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L’Œuvre, 2 décembre 1920

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L’Œuvre
2 décembre 1920


Extrait du journal

n'est point complète. Les règlements de la Douane interdisent aux agents de recevoir des gratifications de la main à la main. Las vingt francs, versés d'abord au syndic de la Société de sauvetage, passèrent donc dans la caisse du receveur de Saint-Valéry qui en référa au directeur: des Douanes de Boulogne. Celui-ci étudia la question. Son avis fut que la somme devait, de toute urgence, être expédiée au syndic des gens de mer, lequel se mit sans tarder en rapport avec la Société centrale de sauvetage. On convint d'établir deux mandats de dix francs au nom de chacun des sauveteurs, et de les expédier au directeur des Douanes de Boulogne pour qu'il les fît parvenir hiérarchiquement à ses subordonnés- Simple, n'est-ce pas, et élégant 1...

À propos

L'Œuvre est un hebdomadaire devenu quotidien fondé par Gustave Téry, ancien rédacteur du Journal, du Matin et collaborateur de L'Aurore. Le journal s'est d'abord affirmé comme socialiste et anticlérical avant de rejoindre le nationalisme intégral prôné par Maurras et l'Action Française au moment de l'Occupation. Le titre fut pacifiste durant les guerres mondiales, bravant la censure dès 1914 et favorable au Cartel des gauches (1924) puis au Front populaire (1936).

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