Extrait du journal

J'ESPÈRE que personne aujourd'hui ne peut encore nier que les matières premières existent en abondance. Il y a quelques années on s'est mis à détruire des récoltes, à diminuer les enclavements. Aux restrictions de production décidées par les trusts et les cartels sont venues s'ajouter un peu partout celles imposées par les gouvernements. On espérait ainsi assainir les marchés en faisant le vide. Ce d'élire international n'a pas cessé depuis lors et hier encore la fameuse et mystérieuse conférence du sucre à Londres édictait de nouvelles mesures de restriction, car il paraît que le sucre est partout beaucoup trop bon marché....