Extrait du journal

— Les Italiens sont évidemment pleins des meilleures intentions... Ils se sont aperçus que, mes sujets et nous n'étions pas capables de mettre en valeur le territoire qui constitue notre bien national. Et, très gentiment, très amicalement (malgré les apparences à quoi — car je suis, moi aussi, une vieille « ficelle » — je n'attache qu'une importance secondaire) ils m'offrent — appelons les choses par leur nom — un « protectorat ». Grâce à ce protectorat, l'Abyssinie produira enfin un tas de choses qu'elle recèle, mais qu'elle n'exploite point....