Extrait du journal

Mais pendant qu'on importait sans comipter des chevaux et des mulets, sans souci de nos ressources pour les nourrir, on diminuait de plus de moitié l'importance de nos achats en fourrages et son ; alors que la plus faible importation, pendant la guerre, s'était "élevée à 286.000 quintaux en 1917 et que la moyenne de nos importations du temps de paix se chiffrait par plus de 900.000 quintaux, nous n'avons importé, en 1919, que 230 719 quintaux. Inutile di; dire que nos importations en viandes de toutes catégories, én beurre, graisses animales, lait et fromages ont, par contre, augmenté dans des proportions considérables, confirmant ainsi cette erreur foncière en politique économique queMe* produit fabriqué est encore préférable à acheter que la matière première....