Extrait du journal

Nous avons eu cette année-là une grosse déception, mais nous croyons aux « compensations », comme le père Azaïs, et, l'on dirait que depuis lors, pour nous consoler, notre propagande « terrestre » s'est considérablement développée. Je ne parle pas des préfets et sous-préfets, qui nous demandent des brochures et des affiches pour les mettre à profusion dans les établissements publics. Je aie parle pas des assemblées départementales, qui ont voté des félicitations à l'Œuvre pour les résultats (déjà sensibles aux statistiques) de sa lutte contre la mortalité infantile. Je ne parle pas du zèle qu'apporte à seconder nos efforts le personnel diligent de l'Assistance publique. Je ne parle pas, et pourtant je devrais parler longuement (il faudra que j'y revienne un prochain jour), de l'admirable dévouement que prodiguent les institutrices et les instituteurs poyr ré-pàiidr-e- et commenter" Rôs recômïtfandations aux jeunes; mamans. Je voudrais seulement avoir le temps de feuilleter avec vous les charmantes et généreuses lettres qui nous arrivent de tous les coins de la France, et du monde. En voici une, par exemple, dont la simplicité m'enchante :...