Extrait du journal

On nous démontre d’abord que l’esprit de parti perd la France, ce qui est bien vrai; on ajoute qu’il faudrait que le pays se gouvernât lui-même sans se livrer à aucun parti; les partis, dit-on, sont des état-major, et le pays doit les écarter tous. Ce n’est point pour nous dire cela que l'article a été fait. Coupons ces branches. Vient ensuite un horsd’œuvre sur l’appel au peuple, que chaque parti veut faire à sa manière, c està-diro do façon à triompher. Coupons encore. Eloge du gouvernement qui emploie des hommes do tous les partis, et qui mêle à doses égales la libre pensée do M. Simon et la foi do M. de Larcy. Nous n’y sommes point encore. Coupons. Comment conserver un état si prospère où l’on nous débarrasse des partis en les accueillant tous? Cette fois, nous approchons. Lo moyen, c’est do n’avoir plus d'autre gouvernement que F Assemblée. * La France veut-elle, oui ou non, diriger elle-même ses affaires par la voix do ses représentants? » Voilà mon plébiscite, dit le Bien publie....