Extrait du journal

La Chambre qui s’en va n’a rien à craindre du suffrage universel, si elle sait se présenter devant lui avec une courageuse franchise. Le seul péril qu’elle pourrait courir viendrait d’elle-même, de sa pusillanimité, de son hésitation à défendre une œuvre fort honorable et dont elle serait seule à méconnaître la valeur. L’opinion publique estcerlainement assez mare, assez maîtresse d’elle^même pour apprécier les ( raisons et pour jugea les actes. Les criailleriez des réacteurs de tout poil et des dé• maeouuesde tout acabit n'auront pas rai-...