Extrait du journal

avaient quinze ans et quels se ressemblaient d’une manière frappante...Aussi, lorsque avant-hier, faisant ma promenade accoutumée, j'ai remarqué deux pauvres petites figures éplorées venir de temps à autre se coller aux croisées des cellules qu’elles habitent séparément, l’une au rez-de-chaussée, l’autre au premier étage, un secret pressentiment m'a dit que je voyais en elles les orphelines dont M. Agricol m’avait parlé, et qui déjà m’empressaient vivement, car elles sont mes parentes....