Extrait du journal

LE SALTIMBANQUE. (Suite et fin.) Ce jour-là, le public s’arrachant à son âtre. Plein du Roi d'I'retot le suivait au théâtre ’• Claude y courut aussi, devant l’analyser. Ici, l’on comprendra que, sans être idolâtre, vu le père, l’enfant devait intéresser; Donc, lu chanson venait de s’operassiser. N’en pouvant contenir sa joie intérieure, Le lendemain matin, et dès la septième heure Notre homme, en habit noir, lestement descendait h escalier délabre de sa pauvre demeure, Tenant un manuscrit qu’en route il relisait Et chez son directeur en souriant entrait. Déjà; des rédacteurs, tons autour d’une table, Fronçaient sur les journaux un sourcil formidable Ou riaient, sur la chaise à demi renversés. Après le comment ru,formule inévitable, Le directeur lui dit, dans ses soins empressés, 1 reuez.donceu fauteuil, Monsieur Claude, et lisez. Si I on nous eut admis au milieu du cénacle. Nous aurions vu, lecteur, un singulier spectacle. I) abord, notre héros, qui du haut de ses droits,...