Extrait du journal

Vous aimez vos parents, mes enfants, et vous tenez fleur amour. Vous ne pouvez même pas supposer un Htani, sans un profond sentiment de tristesse, qu’ils • vous aiment pas. Eh bien ! vos parents aiment vos grès et sœurs comme ils vous aiment vous-mêmes. Ivos frères et sœurs tiennent autant que vous à pour de vos parents. Comment serait-il possible ■e des frères aimant les mêmes parents, aimés par, R mêmes parents, ne s’aiment pas entre eux. Comtot vos parents pourraient-ils vous aimer si vous vous aimiez pas les uns les autres ? Et comment Ririez-vous aimer vos parents et ne pas aimer ceux fils aiment ? bailleurs il arrive qu’on est indifférent aux gens este qu’on ne les connaît pas ou qu’on les connaît...