Extrait du journal

i Les vacances ont ceci d'artiste qu'elles nous mêlent aux nombres et aux jeux des physionomies les plus inattendues qui se puissent voir dans les miroirs de Paris, généralement nouvelles pour nous, et que nous ne revoyons presque jamais. Les vacances ouvrent un échange d'oxygène entre humains, et il y passe un frisson qui n'est pas sans nous annoncer la montée d'un bouquet de devoirs charmants envers nos semblables, disons envers' les Français d'abord. Car nous ne sommes pas encore tout à fait réconciliés entre âmes bleues, jaunes ou vertes....