Extrait du journal

Ton ami n’avait point l'audace De croire à tes succès imprimer un affront. Eh ! qui pouvait jamais te dérober la gloire De l'heureux choix d’un fait consacré par l’histoire ? Chantre d’un peuple libre et du généreux Tell , Ton nom dans l’avenir se présente immortel. Avant toi, je l'avoue, aux rivages du Tibre , On a su nous monter un peuple vraiment libre, Les Romains occupés à défendre leurs droits y Ou d’un trône avili précipitant les rois. Mais ton art plus fatal an pouvoir despotique Fit mieux, en présentant la grandeur hetvr’tiquer Dans un tableau frappant , dans ton poème altier , Tu fis voir à la France un peuple tout entier 4 Qui se levée aux greens de la liberté fibre , Qui change se» pipeaux en trompette guerrière, Et laissant sa charrue au milieu des sillons , Court le fer à la main former des bataillons. L’ennemi vient, l'attaque , il rugit, et s'élance, Et dans des flots de sang at sou vit sa vengeance. Terne N...