Extrait du journal

Le soulèvement de Barcelone (plusieurs l'ont déjà remarqué) n’est pas sans analogie avec celui de la commune de Paris. Il en a l’odieuse, stupide et sanglante horreur. Peut-être môme le arac tore satanique fut-il plus accentué en Catalogne que chez nous. Ces incendies d’églises, ces sacs de couvents — et quels couvents ! un Carmel, asile de la vie contemplative et de la pénitence héroïque; une maison des Petites Sœurs des Pauvres, sanctuaire de la plus parfaite charité, œuvre, disons-le avec orgueil, française par excellence! — tous ces attentats visent d’abord à être des sacrilèges. Mais c’est par là qu'aux yeux de notre presse républicaine ils s’expliquent et même s’excusent; c’est où nos gouvernants ne manqueront pas

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