Extrait du journal

Or il s'y trouve généralement mal. I n logement trop petit, ou trop éloigné «lu lieu de travail, ou malsain, ou trop élevé pour la maladie de cœur de la vieille maman, ou pas assez ensoleillé pour les bronches délicates de la fillette, un appartement qui aurait besoin mètre refait, mais où l'on hésite à faire des frais parce que l'on espère toujours pouvoir aller ailleurs — tel est le lot du plus grand nombre. Quand il n’est pas voué au meublé, le citadin est prisonnier de son domicile fixe. A quand la liberté ? AUCUN besoin n'est pourtant...