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Paris-presse, L’Intransigeant, 16 mai 1952

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Paris-presse, L’Intransigeant
16 mai 1952


Extrait du journal

pernicieuses, si c'est faire injure à un industriel ou à un commerçant que d'annoncer » il croit à la baisse ». alors disons tout de suite que le premier malfaiteur de France est ce M. Pinay qui prétend faire fléchir les prix au nom de la défense du franc. Il faut vite proclamer que la hausse seule est bonne et désirable, qu'il est légitime de dire à la clientèle : « Attention ! il n'y en aura pas pour tout le monde ! Voici des prix que vous ne reverrez plus, la hausse •st prochaine, profitez de l'occasion », mais affreusement déloyal de conseiller la prudence aux acheteurs. Comme la Garde à Waterloo. un barème meurt, mais ne se rend pas. Selon cette théorie, le dessous de...
Paris-presse, L'Intransigeant (1944-1970)

À propos

Après avoir tenté de réapparaître en mai 1947, L’Intransigeant se fait absorber par Paris-presse et devient Paris-presse, L’Intransigeant en juillet de la même année. En 1965, il est à son tour absorbé par le grand quotidien France-soir, avec lequel Paris-presse conteste le haut du podium de la presse française depuis 1944, année de leur création commune. Il devient alors une édition spéciale de France-soir, conservant de spécifique que sa première page, sa page économique et quelques chroniques.

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