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Paris-presse, L’Intransigeant, 25 août 1953

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Paris-presse, L’Intransigeant
25 août 1953


Extrait du journal

La S.N.C.F. fait chaque jour démarrer de nouveaux trains, mais la C.G.T. est majoritaire chez les cheminots et une exploitation habile du malentendu sur les sanctions pour faits de grève lut a permis de retenir avec elle diverses sections locales des autres centrales. De nouvelles précisions sur la réintégration des cheminots suspendus ont été données par la présidence du Conseil. Mais celle-ci ne pouvant ni passer l’éponge sur certains actes de violence, ni admettre les jours de grève pour une nouvelle forme de congés payés, les contestations ne se termineront pas pour autant. Ce matin encore, à l’issue d’un conseil Interministériel, le gouvernement a précisé que, le règlement des retenues de salaire se ferait suivant des instructions données par les administrations romps-...
Paris-presse, L'Intransigeant (1944-1970)

À propos

Après avoir tenté de réapparaître en mai 1947, L’Intransigeant se fait absorber par Paris-presse et devient Paris-presse, L’Intransigeant en juillet de la même année. En 1965, il est à son tour absorbé par le grand quotidien France-soir, avec lequel Paris-presse conteste le haut du podium de la presse française depuis 1944, année de leur création commune. Il devient alors une édition spéciale de France-soir, conservant de spécifique que sa première page, sa page économique et quelques chroniques.

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