Extrait du journal

Certes, le départ de M. Harrison n'est pas étranger aux réserves contenues dans la réponse américaine. Mais il n'indique pas que les pourparlers soient rompus. Ceux-ci se poursuivent au contraire et du côté franco-anglais, comme du côté américain, on croit fermement que l'accord est simplement retardé et que, lorsque les délégués se seront mis d'accord sur ses modalités assez complexes, on arrivera à cette stabilité de fait des trois monnaies majeures que chacune des parties juge toujours indispensable à une heureuse issue des travaux de Londres....