Extrait du journal

(Mi '• j'arme la campagne, les vergers fleuris, les molles codilines, les horizons mouvants, les ciels où traînent les nuages d'ouate, les prés fileuris de .pâquerettes, les blés verts d'où s'envoient brusquement deux perdrix ; la forêt silencieuse et sonore, les routes qui se hissent en face des monts, et la mer qui apparaît, comme un espoir réalisé, tout a coup, entre deux falaises. Mais à voir la horde qui défile sans arrêt, brusquement Réprouve une joie de n'avoir pas à me mêler à elle, une joie de rester là sous un pommier qui promet tous les ans plus de pommes qu'il n'en tiendra, avec un chien allongé dans l'herbe et sous les yeux de qui, lorsqu'il les tournent vers moi,je lis cette question :...