Extrait du journal

Les Anglais, à qui nous devons Sheriock Holmes, continuent à montrer une grande perspicacité. Depuis longtemps ils cherchaient des excuses à Alain Gerbault ; ils ne pouvaient admettre qu'un homme, qui n'était pas britannique, pût avoir pour la mer un amour si complet, si désintéressé, si pur. Il fallait trouver à tout prix des raisons valables à cette fuite et à cet exil. Un de nos confrères d'outre-Manche vient enfin de les découvrir. Elles sont exquisement romantiques, et même antérieures au romantisme, puisqu'elles évoquent les contes de fée et les romans de chevalerie....