Extrait du journal

quant à nous, une pareille conduite ne nous semble pas digne d’un souverain puissant appuyé sur son droit et sur son armée. Il y avait incontestablement plusse grandeur véritable à reconnaître ses torts, à avouer qu’on avait dépassé les limites de ce qui est permis, même à la tyrannie consacrée par le temps, et à se faire un mérite, auprès d’un gouvernement ami et généreux, d’un retour à la modération et à l'humanité. On a voulu faire de la clémence à tout prix et du bon plaisir; on a affiché des pardons quand on avait besoin soi-même d'indulgence; on a fait grâce à ceux qui ne demandaient que justice....