Extrait du journal

o u s sommes ici dans les plus cruelles alarmes , nos clefs ont été remises aujourd’hui, par la suppression uc Pétat-major de la place , dans les mains du chef de la garnison , justement suspect, par la fuite récente ( d’hier ) de son neveu chez l’étranger. Est-il possible que l’assemblée nationale nous livre ainsi à la merci de nos ennemis? Les circonstances critiques où nous sommes 11’exigent - elles pas impérieusement que les portes des villes ne s’ouvrent qu’aux ordres des hommes de confiance, tels que les officiers municipaux? etc....