Extrait du journal

De 1Vo rois. « J’aurois bien fait de suivre tes conseils, et de ne pas me presser autant que je l’ai fait pour me rendre ici. J’étais lié , il est vrai , par ma parole ; mais les cii constances qui dévoient me forcer de la tenir, ne sont point entore arrivées,et probablement n’arriveront point. Quoique 1 illusion se soutienne encore, et que l’on nous fasse envisager la lin de nos malheurs, comme prochaine , cette fn ne sera pas telle que nous l’espérions. Les secours d’argent manquent à nos chefs , et sous aucun rapport, 011 ne leur a tenu parole. L’électeur de Mayence est le mufti] homme qui ait nus de la bonne loi dans sa conduits envers nous , et nous sommes joués indignement par la politique Je la cour de Vienne. J'ai des raisons partic.aères et positives d’affirmer que l’Empereur s’en tiendra...