Extrait du journal

En regardant les choses d’un peu haut, l’on ret rie pas à reconnaître qu’il n’y ?, en art, ni c oies, ni système», ni antiquité, ni teins modernes. ni barbarie, ni renaissance, il n’y a éternellament que le beau et le laid. Il est étonnant de voir comme, pour peu qu’on se place à une certaine élévation, l’art romain rentre dans les données de l’art grec , qui est lui-même ême tout près de lait égyptien ; il n’y a g 1ère même cntr'eux que des différences voulues par le tempérament et le climat. Nous en dirons autant du moyen-âge et de l'antiquité , quoique la chose puisse sembler pins insolite; tout ce qu'on a écrit dans ces derniers teins sur la forme et sur l’idée, sur l’art pastique et sur l’art chrétien, n’a rien de bien rigoureusement vrai. Il y a un fonds commun de beauté dont nulle école ne peut sortir , et telles statues gothiques sont plus près de la sculpture grecque et romaine , dons leurs bons tels, que de n’importe quelle vague théorie. Il y a seulement entre la s suaire païenne et l’art chrétien la Différence d'une nature à l'état de rayonnement d’avec une nature à l’état de compression et de retour sur soi-même; ceci s’explique d’ailleurs par le caractère des deux religions, dont lunedonnait à 1 homme physique i n développement illimité, tandis que l’autre le refoule et le resserre dans les liens d’une morale inexorable. Delà, la ligne onduleuse et la fibre rebondismante des anciens; de là, le linéament quelque fois un peu sec et le muscle toujours rentrant, sourd et maté du moyen âge....