Extrait du journal

La camériste, c'est-à-dire Marion, Lisette, Fanchette, Suzon, tout un négro de beautés de second ordre une je croyais aboli : point du tout, la camériste fleurit toujours avec son tablier de batiste, sa rose au côté, son bonnet do dentelle, et La heur ou Fronlin sur ses talons. La camériste n a pas cessé d airant, de trahir sa maîtresse, de favoriser les passions des grands seigneurs, de se laisser caresser le menton : la preuve c’est qu’elle vient d être ♦ t’hantée pendant tout un volume in-octavo, réintégrée dans ses anciens pu-...