Extrait du journal

LES PAUVRES ET LE LUXE ’EST la fable d’un enfant ” dont les f>arents étaient pauvres... Mettons, pour les besoins de la [rime et du chant, que ceci se passe au Hanovre. ... Mais, si ses parents étaient pauvret, son parrain était riche, et. pour le jour de IrAn, le filleul recevait des cadeaux insolents, jouets beaucoup trop beaux qui suscitaient des autres enfants du pays [l’envie lorsque, sous leurs yeux éblouis, chemins de fer, ou panoplies, soldats de plomb, tirs ou ballons, étaient étalés tout du long. Une fois, même en leur fureur, ils le batAussi, quand les jouets du parrain arri| voient, la mère du petit les rangeait, sans rien | dans un cabinet noir, avec de vieux objets. Et l’enfant navait qu’un très humble jouet acheté au hasard à l’étalage du bazar : cheval de carton, par exemple, ou jeu de quilles, ou cibot, rien de trop beau, ou soldats de papier mâché très bon marché. Tant est vrai que celui qui de luxe s’affidoit être riche (che, et, donc, que la simplicité va mieux avec la pauvreté....