Extrait du journal

Il est poignant d'entendre aujourd'hui parler les amis de la France dans le Proche Orient. Laissons de côté notre clientèle. Mais tous ceux qui ne pouvaient songer à leur patrie sans lui associer la nôtre n’ont plus à noya confier que leur étonnement et leur angoisse. Autant est indéniable l'action étrangère, systématique et profondement habile, dans la crise présente, autant nous devons nous dire à nous-mêmes nos maladresses, qui ne furent en Syrie que prétextes, mais qui jouèrent au Liban un rôle décisif...