Extrait du journal

Il conviendrait de distinguer trois cas : 1 ° Il y a le juste pro fit, véritable moteur de l’entre prise, qui assure son dynamisme sa pérennité et son honneur ; 2° Il y a le large profit, qui n’est plus seulement le moteur général de l’entreprise, mais celui de l’économie générale, car il permet le renouvellement du matériel, l’extension de l’entreprise les dépenses superflues qui font vivre les arts et les industries, et surtout les dépenses à caractère social ; 3° Il y a le profit excessif (scandaleux même). Là, j’aurais été d’accord avec vous aurefais. Mais, aujourd’hui, les comités d’entreprise auront soin, Dieu merci, de rendre la chose impossible. Souhaitons toutefois qu’ils aient la sagesse de laisser les deux premiers cas de profit...